L’une des caractéristiques de l’année 2011 aura été l’extrême sècheresse constatée au printemps. Si nous additionnons les hauteurs de précipitation des mois d’avril, mai et juin, nous sommes en présence du printemps le plus sec jamais enregistré depuis 1949. Heureusement, nous avons retrouvé, durant l’été, un peu d’eau, permettant à la plante de continuer son travail. Les vendanges auront été sereines, avec un mois de septembre plutôt sec.